France-cote d'ivoire!!!

Mettez tous dans ce post!!!

article foot 365

C’est un Thierry Henry souriant qui est venu à la rencontre de la presse à deux jours de la rentrée de l’équipe de France. L’attaquant des Bleus s’est évidemment exprimé sur les retours de Zidane, Makélélé et Thuram. Pour lui, leur retour est un plus si toute l’équipe se met au diapason.


Thierry Henry, comment se sont passées les retrouvailles avec les trois revenants, Zidane, Makélélé et Thuram ?
On a mangé ensemble, il faudra attendre de voir sur le terrain (NDLR : entretien réalisé avant l’entraînement de l’équipe de France.) Pour l’instant nous avons eu nos siestes… On s’est juste un peu revu, nous nous sommes dits « bonjour » et on a rigolé à table, en parlant de tout.

Est-ce que cela fait quelque chose de les revoir ?
C’est un truc extraordinaire, comme quand tu rencontres des cousins que tu n’as pas vu depuis longtemps. Quand tu les revois tu leur demandes ce qu’ils ont fait ces derniers temps. Cela a un côté un petit peu famille, même si nous n’en sommes pas à cette extrémité. Les revoir, c’était marrant, mais marrant dans le bon sens du terme. Maintenant, j’ai hâte d’avoir le plaisir de jouer avec eux sous le maillot bleu.

Que vont-ils vous apporter ?
Je pense que c’est un plus que des joueurs de ce calibre reviennent. Ils vont nous apporter cette assise technique qui nous a manqué et ils vont nous apporter leur expérience des grands matchs.

« C’est comme Maradona… »

Ils vous ont manqué ?
Le mot « manquer » est inévitable… Est-ce que Platini manque au foot français ? Toujours ! Zidane, dans vingt ans, on dira « je me rappelle quand il y avait Zidane, Thuram ou Makélélé … » Il y a des joueurs comme ça, quand ils arrêtent, on dit « Ah ! Quand ils étaient là… » C’est comme Maradona pour les Argentins. Dans tous les pays, les grands joueurs, c’est comme ça.

Est-ce que leur retour change l’environnement, est-ce qu’il y a plus de monde qui vous entoure avec le retour des trois anciens ?
Oui, il y a plus de monde puisque Zizou est là (rires). Pour être plus sérieux, ça a créé une certaine joie pour tout le monde : les gens, les joueurs et je l’espère les journalistes. Pour tout le monde ça a été quelque chose de positif, non ?

Vont-ils vous soulager personnellement, vous qui deveniez un pilier de l’équipe ?
J’espère que je faisais partie des piliers quand ils étaient déjà là. Ma situation ne change pas. Mais tu te sens plus costaud quand tu rentres sur le terrain avec Thuram, Makélélé et Zidane, et ce sans vouloir manquer de respect à qui que ce soit. A vrai dire, ça m’a agréablement surpris quand j’ai appris leur retour. J’ai cru à une blague au départ, mais quand j’ai su que c’était vrai, je me suis réjoui…

« Ils ne perdent pas les pédales »

Pouvez-vous nous expliquer comment ces trois joueurs peuvent transmettre cette fameuse expérience ?
La sélection, c’est un niveau supérieur. Jouer un match en sélection, ce n’est pas forcément évident. Vous avez des joueurs, là, qui savent très bien ce que c’est le haut niveau. L’assise technique est également importante : ces joueurs-là, dans n’importe quel environnement ne perdent pas les pédales et jouent le même football - plus ou moins - dans un bon comme dans un mauvais environnement : c’est ce qui est difficile à assimiler. Ces joueurs-là peuvent amener tout ça. J’ai l’impression de parler de nouveaux qui arrivent. Je parle de joueurs qui ont une carrière plus longues que la mienne, de gars qui ont gagné plus de trophées que moi, et j’ai l’impression de parler de nouveaux. Il ne faut pas leur mettre une pression supplémentaire. Tout le monde doit se mettre au diapason.

Est-ce que vous, Thierry Henry, allez être une sorte de lien entre les générations ?
On a toujours dit que j’étais une sorte de lien entre les jeunes et les anciens. Pour être arrivé assez jeune dans cette génération qui n’est pas la mienne, j’ai l’impression de me sentir plus près d’eux, sur le plan football. J’ai beaucoup plus joué avec eux qu’avec la nouvelle génération. Des fois je me sens plus proche d’eux car nous avons souffert et gagné ensemble : quelque chose s’est donc créé. Après au niveau de l’âge, je me sens plus proche de l’autre côté, même si je commence à prendre de l’âge. On peut dire que je suis un lien. Mais surtout, il faut que tout le monde se mette au diapason : 20, 21, 26 ou 32 ans, jeune ou pas jeune, c’est quelque chose qu’on a oublié à un certain moment, il faut que l’équipe se mette au diapason. Quand je suis arrivé avec David, tout le monde s’est mis au diapason et on a oublié si l’équipe était jeune ou vieille.

« Un petit derby »

Est-ce que le match contre la Côte d’Ivoire reste un match amical ?
Je pense que même si les gars n’étaient pas revenus, ce match serait resté un petit derby. Il y a une forte communauté ivoirienne en France. Moi je joue avec Kolo Touré. Croyez-moi, le match ne sera pas amical. L’arrivée des trois amplifie la chose. Mais je considère ce match un peu comme quand on a joué le Sénégal au Mondial, tout le monde pense que ça va être facile, mais quand les Français jouent face au Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, l’Algérie, le Maroc ou la Tunisie, ça reste des matchs particuliers pour nous. S’il y a une équipe contre qui ils ont envie de prouver quelque chose, c’est bien contre la France. Ca sera donc difficile mercredi, d’autant plus que cette équipe est une bonne équipe qui est en passe de se qualifier pour la Coupe du Monde devant le Cameroun.

Cela serait grave de perdre ?
Je ne joue pas pour perdre, mais quitte à en rater un autant le rater là. Si tu le rates à Dublin ou en Suisse, tu le paies cash. Si, il y en a un à rater, c’est celui là.

Un mot sur Didier Drogba ?
Didier a prouvé à Marseille et à Chelsea qu’il est un attaquant de grande classe. Mais il ne faut pas oublier Bonaventure Kalou, Aruna Dindane, Zokora. Je peux parler de beaucoup de joueurs dans cette équipe. Kolo me parle des jeunes. Ils ont le créateur en Kalou, ils ont le dribbleur avec Dindane et le buteur avec Drogba : quand vous avez trois joueurs comme ça dans une équipe, c’est déjà pas mal. Sans oublier Baky Koné…

Je pronostique un 3-1 pour la france!
Buts Henry, Trezeguet et...Zidane contre un but de Drogba!

une victoire 2-1 des français!!

2-0pour la ctoe d ivoire : désolé mais vu le niveau de la France!

Moi je dit:2-0 pour les bleux:But Zizou-Henry.

Jeremy37 a écrit:

2-0pour la ctoe d ivoire : désolé mais vu le niveau de la France!

la ctoe d'ivoire!!!

c'est une nouvelle nation qui a vu le jour!!!!

L'equipe de jéjé?

Le onze de depart
Coupet - Sagnol, Thuram, Boumsong, Gallas - Makelele, Vieira - Wiltord, Zidane (cap), Dhorasoo – Henry

ARTICLE FOOT 365:

« Une certaine émotion »
16 août 2005 - à Montpellier - Nicolas PUIRAVAU
Pour son retour en équipe de France, c’est un Zinédine Zidane souriant et détendu qui s’est présenté devant la presse mardi. Le nouveau capitaine des Bleus est tout simplement heureux. Mais également motivé comme jamais.


Zinédine Zidane, comment s’est passé votre retour en équipe de France ?
Très bien. Je suis content de retrouver les Bleus. Et j’ai reçu un bon accueil.

Avez-vous senti de la timidité de la part des plus jeunes joueurs ?
Non, pas du tout. Vous savez, les jeunes joueurs sont déjà confirmés et habitués à évoluer avec des internationaux. Et tout le monde joue dans des grands clubs.

Avez-vous le sentiment d’être un nouveau joueur au sein de ce groupe ?
Absolument pas. Je n’ai pas oublié mon passé en Bleu. Mais c’est quand même assez particulier de revenir ici après un an d’absence. Il y a une certaine émotion. Je reviens avant tout pour contribuer à la qualification et il y a une certaine continuité. J’ai retrouvé beaucoup de joueurs qui étaient déjà là avant mais je reconnais également que beaucoup de choses ont changé.

Votre retour était-il conditionné par ceux de Makélélé et Thuram ?
La décision de revenir en équipe de France appartient à chacun. On m’a demandé de revenir et j’ai pris ma décision. Avant tout, c’était la volonté du sélectionneur. Chaque joueur a dû prendre sa décision et j’ai pris la mienne.

Pourquoi avoir changé d’avis ?
Mes rencontres avec le sélectionneur ont été importantes. Après cela, il s’est passé plein de choses pendant mes vacances. Et contrairement à certaines rumeurs, il n’y avait aucun calcul. Je voulais juste retrouver ce que j’avais perdu, à savoir l’équipe de France. C’est dur de changer d’avis, surtout pour moi car ce n’est pas dans mes habitudes. Mais là, bizarrement, cela n’a pas été trop difficile. Je me suis dit que je pouvais revenir sur ma décision et je suis content de l’avoir fait.

« Ce n’était pas forcément naturel de reprendre le brassard »

Vous attentiez-vous à un tel engouement ?
Je ne ressens aucune pression par rapport à ça. Et contrairement à ce que certains pensent, je ne prends aucun risque par rapport à moi ou à mon image. J’avais juste envie de revenir. Cela peut paraître bizarre pour certains mais ce n’est pas mon souci. Je veux faire plaisir à ceux qui sont contents de mon retour et je sais qu’il s’agit d’une majorité.

Il y a quand même beaucoup d’attente vous concernant…
Et alors ? Je me sens prêt, je me sens capable. Sinon, je ne serai pas là.

Vous allez également retrouver le brassard de capitaine. Comment abordez-vous ce rôle ?
Je ne suis jamais entré dans le choix des joueurs. Par contre, je peux parler de plein de choses avec le sélectionneur. Notamment des choix tactiques. Mais il faut également lui laisser faire son travail.

Allez-vous prendre un rôle de leader ?
Un leader, c’est quelqu’un qui parle beaucoup. Et ce n’est pas mon cas. Didier Deschamps était un vrai leader. En revanche, sur le terrain, je suis capable de prendre la parole, de motiver les autres. Vous savez, ce n’était pas forcément naturel de reprendre le brassard. Mais Patrick (Vieira) me le donne. Alors je le prends.

Que peut dire le nouveau capitaine des Bleus à ses partenaires ?
Il faut gagner des matchs. C’est la seule chose qui compte en football. Cela passera par la solidarité et le travail. Il y a beaucoup de qualité dans cette équipe de France et il manque juste un petit truc, une petite dose de confiance.

Le match contre la Côte d’Ivoire sera un bon moyen de se rassurer…
C’est un gros match qui nous attend. Ce sera physique et engagé. Exactement ce qu’il fallait avant les rendez-vous du mois de septembre.

ARTICLE....FOOT 365

Il n’y a aucun calcul à faire »
16 août 2005 - à Montpellier - Nicolas PUIRAVAU
Satisfait du retour de trois anciens cadres, Raymond Domenech a essayé de ne pas tout axer sur les « nouveaux ». Le sélectionneur des Bleus a ainsi rappelé qu’une équipe se bâtissait autour d’un groupe et qu’il fallait désormais retrouver le chemin de la victoire.


Raymond Domenech, avec le retour de trois anciens cadres, avez-vous le sentiment d’avoir une équipe différente ?
Comme tous les sélectionneurs, je me soucie surtout de la vérité du terrain. Maintenant, des choses ont changé en effet. J’ai 21 joueurs à disposition. C’est la première fois que j’en ai autant. Mais pour vous répondre, cela reste l’équipe de France. L’objectif n’a pas changé et il faut gagner nos quatre prochains matchs. Nous avons notre avenir entre nos mains.

Ces retours n’ont pas changé la vie du groupe ?
Si, il faut désormais un peu plus de sécurité devant notre hôtel ! Plus sérieusement, il n’y a pas de changement non. Tous les joueurs convoqués évoluent dans des grands clubs européens et tous ont le niveau pour être là. Et puis, les trois nouveaux ne sont pas des inconnus. Ils comptent plus de 250 sélections à eux trois.

Et au niveau du terrain ?
Sur le terrain, il n’y a aucun calcul à faire. On doit gagner nos quatre prochains matchs. Cela semble logique d’ailleurs. Maintenant, un nul face à l’Eire ne serait pas forcément un mauvais résultat. Mais il faudrait alors commencer à faire des calculs. Autant éviter cela.

« Il faut être poussé dans nos derniers retranchements »

Allez-vous modifier votre système de jeu ?
Il est évident que mon organisation de base se fera avec Makélélé, Thuram et Zidane. Mais on verra surtout comment cela évolue. Les joueurs sont capables de s’adapter et on peut encore changer beaucoup de choses avant le match de septembre. Ce qui est certain, c’est que le match de demain ne me servira pas à faire tourner mon effectif.

Et quel sera le rôle de Zidane ?
Le même qu’au Real Madrid. Un milieu axial, même si cela veut dire beaucoup de choses. On utilise les joueurs pour bâtir une équipe et non pas en fonction d’un seul élément. Et sachez que je n’ai pas attendu le retour de trois anciens cadres pour discuter avec mes joueurs.

Un mot sur la Côte d’Ivoire ?
C’est une super équipe, surtout offensivement. Ce sera dur mais on forge les équipes dans la difficultés. Il faut être poussé dans nos derniers retranchements et cela sera le cas mercredi soir. Comme un vaccin pour la suite.

RRP a écrit:

L'equipe de jéjé?

ouai c'est mon équipe avec pour Capitaine Oceane et moi au but!!

j'espère que t'es meilleur pour lui mettre des buts que tu ne l'es au prono la pauvre!!!!

mw08 a écrit:

j'espère que t'es meilleur pour lui mettre des buts que tu ne l'es au prono la pauvre!!!!

MDR

1-0 pour la france!!presque la mi temps!
dédicace à mon amour oceane !!!

mi temps :)

3-0
but gallas zizou henry

Super beau match!!!!VIVE LES BLEUX.

Le dieu Zizou est revenu.

ça faisait longtemps que je n'avais pas vu l'équipe de France jouer ainsi!!! :D :D
comme quoi le fameux "choc psychologique" est toujours d'actualité.... :D